Rechercher dans ce blog

dimanche 29 novembre 2020

SERUM PLURI-ACTIFS ANTI-AGE VERTUS DE LA POMME

 

Sérum Pluri-actifs Anti-âge,

 

Vertus de la Pomme

 

 


Test dans le cadre de la Team Chic Over 50

 

 

Je n’avais jusque-là jamais utilisé un produit de beauté à base de pomme. La pomme, je l’adore, dans tous ses états, mais dans mon assiette…

 

J’étais évidemment très curieuse de tester ce produit.

 



 

Mais d’abord, qui est POMONE Paris ? 
Vous connaissez ?
 
Pomone Paris est une marque de cosmétiques française, authentique et naturelle.
 
Pomone Paris propose des produits haut de gamme, fondés sur la haute technologie botanique de la pomme. Ses produits renferment 100 % d’actifs botaniques extraits de la pomme. C’est la référence en la matière.
 
La créatrice Florence Sellin est ingénieur chimiste et a coopéré pendant 5 ans avec des scientifiques spécialistes du monde végétal, des pharmaciens, des dermatologues…
 
Spécialiste du secteur de la beauté (ancienne de L’Oréal, création d’un secteur luxe et beauté au Bureau Véritas), Florence Sellin a mis à l’honneur la pomme, un des emblèmes de La Normandie, sa région d’origine.
 
 
Pomone Paris intègrent des formules des dernières technologies scientifiques et cosmétiques, en excluant paraben, phénoxyéthanol, silicones, huiles minérales.
 
Les cosmétiques Pomone Paris font écho à POMONE, nymphe et déesse d’une remarquable beauté. C’est la déesse des fruits et des arbres fruitiers.
 
 
 
Le sérum Pluri-actifs anti-âge
 
Tout le monde sait que la pomme est bénéfique pour notre santé, et, on le sait beaucoup

moins, ses actifs sont aussi très efficaces, utilisés en cosmétique pour notre peau.
 
Pomone Paris, l’a bien compris et met en lumière les vertus de la pomme dans son sérum pluri-actifs anti-âge de la gamme Munificence.
 
Un sérum s’utilise chaque jour pour booster le soin que l’on utilise ensuite. Il vient en complément de ce soin, pour réparer, hydrater… 

Ayant une formule ultra-concentré, il pénètre rapidement dans la peau, pour lui apporter un soin spécifique. C’est un véritable allié à choisir avec attention, et sur lequel il ne faut pas faire l’impasse.
 
 
Pomone Paris a su utiliser les super-actifs de la pomme pour faire de son sérum Pluri-actifs anti-âge, un allié avec des supers pouvoirs pour nos peaux matures.
 
 
Ses actifs :
 
Isoquercétine de pomme : C’est une forme naturelle de la quercétine (antioxydant) qui active les sirtuines, protéines de longévité (ou enzymes ayant un fort pouvoir de contrôle sur le vieillissement), lutte contre la perte d’élasticité et de densité de la peau en protégeant l’élastine et en s’opposant à la glycation (réaction chimique qui accélère le vieillissement de la peau) et à la rigidification du collagène.
 
Polyphénols de pomme : (puissants anti-oxydant) luttent contre le stress oxydatif  (oxydation des cellules) responsable d’une accélération du vieillissement cutané.
 
Eau végétale de pomme : vivifie et infuse oligo-éléments et sels minéraux. Lisse et améliore le grain de peau.
 
Huile de pépins de pomme : nourrit et revitalise
 
 
 
Les promesses du Sérum Pluri-actifs de Pomone 
 
  • Bonnes propriétés anti-âge,
 
  • Bonnes propriétés unifiantes avec atténuation des tâches,
 
  • Diffuse ses actifs tout au long de la journée pour préserver la jeunesse du visage
 
  • Formulé pour stimuler et réveiller la vitalité et redonner l’élasticité et l’éclat d’une peau plus jeune.
 
Le sérum Pluri-actifs anti-âge convient à toutes les peaux.
 
 
Le test
 
Tout d’abord, le flacon est plutôt chic et élégant, en verre, sans fioriture à l’excès, il est de bonne contenance, 30 ml, et tient bien en main. Je le trouve plutôt joli.

 
Pratique d’utilisation, car il s’agit d’un flacon-pompe, possédant un petit capuchon afin de protéger la fermeture.
 
Le produit, de couleur « crème » est fluide et pénètre parfaitement dans la peau. Moi qui suis toujours pressée, je n’ai pas été obligée d’attendre longtemps après, avant d’appliquer ma crème.
 
Il est non gras, ce qui, pour moi, est très important, et ne colle pas. L’odeur est très agréable, tout en restant discrète.
 
Le sérum s’applique matin et soir, par effleurage sur le visage et le cou avant l’application de la crème de jour ou de nuit.
 
Après plusieurs semaines d’essai, je constate que ma peau fatiguée est lissée ; elle semble plus ferme et plus douce. Je ne m’en étais pas aperçue tout de suite, mais elle semble moins marquée.
 
J’ai deux tâches sur le haut de chacune des pommettes, une très ancienne et l’autre plus récente (environ deux ans). Je constate à ma grande joie, que la tâche plus récente s’est atténuée.
 
C’est dommage que je n’ai pas fait une photo avant / après pour vous montrer, mais pour être sûre de ne pas me tromper, j’ai demandé à ma famille de me confirmer. Et effectivement, elle est moins prononcée.
 
Je recommande vraiment le Sérum pluri-actifs anti-âge de Pomone Paris. Il a toutes les qualités que l’on peut attendre d’un sérum, même si son prix est légèrement élevé (entre 54 et 57 €). Mais en l'utilisant, on se rend compte, que c'est vraiment un produit haut de gamme qui est utile à notre peau.
 
J’espère vous avoir donné envie d’essayer le Sérum pluri-actifs anti-âge.
 


N’hésitez pas à aller consulter l’avis des autres participantes au test : 

 
Emmanuelle         www.modeetbeautebyemma.com         
 
Pascale                https://www.instagram.com/bonplanpacano
 
Raquel                 www.instagram.com/beautyforthequeens
 
Solange                www.instagram.com/modange13

Evelyne                https://www.instagram.com/huardevelyne/?hl=fr


Nicole                   https://www.instagram.com/nicole.jordi4/?hl=fr
Rachel                  https://www.instagram.com/rachelpassions/?hl=fr
 
Magali                  http://www.instagram.com/nicesouris
 
 


Merci à Florence SELLIN et Pomone Paris pour leur confiance.
 
A très bientôt pour un prochain test.




mardi 24 novembre 2020

Le calendrier de l'Avent



Il marque le début de la période des fêtes de Noël ; nous avons "presque tous" eu le nôtre dans notre enfance, composé de chocolat ou d'une jolie image ; mais depuis une dizaine d'année, il se décline en tellement de version, que c'est vraiment trop difficile de choisir...  C'est ? C'est ?  Le calendrier de l'Avent bien sûr.

Ne me dites pas que vous n'êtes pas tenté (e) d'acheter le vôtre, je ne vous croirai pas ! 

Nous avons tous au fond de nous une âme d'enfant (même si pour certains elle est enfouie loin... très loin) et, il faut le reconnaître, pour la plupart d'entre-nous, la période des fêtes est bien une belle excuse pour replonger, quelques temps, dans l'insouciance de l'enfance. Bon, on ne le montre pas trop, mais qui n'est pas tombé en admiration devant des vitrines de Noël ? Allez, avouez-le, ce n'est pas une honte !

Quoi qu'il en soit, qu'il soit fait maison ou qu'il vienne du commerce, le calendrier de l'Avent est devenu un incontournable et n'est plus réservé qu'aux seuls enfants. Les marques ne s'y trompent pas et, depuis quelques années, nous voyons des calendriers de l'Avent avec des cosmétiques, des bières, des thés, des objets de décoration,  et bien d'autres choses, envahir les rayons. Il y en a pour tout le monde ! J'ai même vu cette année un calendrier de l'Avent avec du fromage ! 

Mais connaissez-vous l'origine du calendrier de l'Avent ?

Allez, un peu d'histoire...

Tout d'abord, non, ce n'est pas une faute d'orthographe. C'est bien le calendrier de l'Avent avec un e, qui vient du latin "adventus" pour "avènement". 

Et oui, car avant tout, l'Avent est relié à la Chrétienté, c'est la période qui précède la venue de Jésus.  

Le temps de l'Avent commence toujours le 4ème dimanche avant Noël. Cette année, se sera donc le dimanche 29 novembre. C'est au cours de cette période que les chrétiens préparent Noël. D'où également la belle tradition des bougies de l'Avent que l'on brûle chaque dimanche avant Noël.

C'est d'ailleurs pour cette raison que vous pourriez trouver des calendriers ayant de 22 à 28 jours ; les jours étant calés sur l'Avent, le décompte se fait alors à partir de ce fameux premier dimanche de l'Avent et non plus à partir du 1er décembre.

Mais laissons le côté "religion". Enfin, pas totalement !

C'est au XIXème siècle, en Allemagne que les prémices du calendrier de l'Avent sont nés. Les enfants, de confession protestante, recevaient tous les jours une image pieuse comportant une citation ou une petite phrase, et ceci jusqu'au 25 décembre. Cette coutume leur permettait d'attendre la naissance de Jésus.

Mais c'est Gerhard Lang, éditeur de livres, qui en 1908, eut l'idée de commercialiser le premier calendrier de l'Avent, le "Weihnachtskalender". Il se trouvait alors sur un support rigide, et était illustré de dessins. Mais ce calendrier n'est pas de son invention, c'est sa propre mère qui en avait eu l'idée pour ses enfants. Il ne fit que le perfectionner. 

Les portes à ouvrir n'arriveront qu'en 1920, et le chocolat à dévorer chaque jour, en 1958.

Au-delà de ces origines plutôt religieuse, il est bien agréable d'ouvrir chaque jour les petites cases du calendrier de l'Avent qui nous mènent tout droit vers Noël. Quelle excitation pour les enfants de découvrir un petit cadeau tous les matins. Quel plaisir d'attendre et de préparer Noël de cette façon ! Car il faut bien avouer que pour les petits, comme pour les grands la période de Noël a quelque chose de particulier et qu'il suffit de petits riens pour que l'ambiance devienne tout à coup plus féerique.




Avec le calendrier de l'Avent, Noël devient un moment plus réel et plus présent et comme le voulait la tradition, il permet toujours de décompter les jours.

Et vous serez certainement d'accord avec moi, plus que jamais cette année, nous avons besoin de repères, de traditions. 



Je ne vous donnerai pas de site pour trouver vos calendriers de l'Avent, ils foisonnent sur Internet. Mais en faisant mes recherches, j'ai découvert, et je déplore, que certaines grandes marques  ne vendent pas elles-mêmes leurs propres calendriers, mais font appel à un géant Internet de la livraison à domicile. Quel dommage ! 


Vous en savez maintenant un peu plus sur le calendrier de l'Avent ! Alors bon voyage vers Noël ! 

Et vous, quel sera le calendrier de l'Avent qui ornera votre maison cette année ? 

Racontez-moi ! 



dimanche 8 novembre 2020

 

A Fleur de Peau


de 


James BARNABY






Il est des romans, comme celui-ci, que vous possédez et que vous ne prenez pas le temps de lire. Et, quand vous le lisez enfin, vous vous dites que, franchement, vous allez bien regarder dans votre bibliothèque si vous n'êtes pas en possession d'une autre pépite comme celle-là.

"A Fleur de Peau" est un roman incroyablement bien ficelé qui débute de nos jours avec Jane McLeone, brillante étudiante, qui cache un lourd secret bien enfoui au fond d'elle.

A 19 ans, elle ne se souvient toujours pas de ce qui lui est arrivé alors qu'elle avait 11 ans, lorsqu'elle a été enlevée.

Cet été là, elle était tout simplement partie en pleine nuit retrouver ses amies, alors qu'elle était en vacances dans le chalet du lac Mendota avec Richard, l'ami de sa mère. Sa mère, qui, comme souvent, avait dû les laisser pour retourner à Chicago.

Jane est revenue un mois après, au petit matin, comme si elle rentrait après une nuit passée à l'extérieur, sans aucun souvenir du mois écoulé.

De ce mois où elle avait été enlevée, lui est restée une souffrance bien cachée, et surtout des "fugues temporelles", pendant lesquelles elle se déplace, agit, et se réveille sans se souvenir de ce qu'elle a bien pu faire.


"Je suis née à Chicago, il y a dix-neuf ans sous le signe du Cancer.

Mes parents s'appellent George et Janine McLeone. Enfin, Janine Holstein depuis son remariage. Mon père est cambiste à la Bourse des matières premières agricoles de Chicago. Ma mère tient une galerie de peinture à Chicago et une autre à Madison. Avant ma naissance, ma mère était artiste-peintre, mais à cette époque-là, elle n'avait jamais exposé.

Aujourd'hui, mes parents sont divorcés. Ma mère s'est remariée avec Richard Holstein, Park Supervisor à Madison, membre du Parti progressiste du Wisconsin. Il est très engagé en politique et brigue un poste de sénateur pour les élections de novembre prochain. Mon beau-père, il est cool. Ça, c'est Mei qui le dit. Ma mère me traite toujours comme une petite fille qui a du mal à grandir et mon père se fout de moi.

Et moi, dans tout ça ? J'en sais rien. Je suis une Hoden Caulfield au féminin. Une fille "qui voyage dans sa tête", ça, c'est encore Mei qui le dit, qui fugue dans le temps et ne se souvient pas de toutes les conneries qu'elle a pu faire quand elle était inconsciente. Une timbrée, même si le Dr Sapistein affirme que non.

Au fond, c'est peut-être mon père qui a raison : malgré mes diplômes universitaires je ne suis qu'une bonne à rien. Une folle qui perd la mémoire. Un zombie aux réactions imprévisibles qui peuvent se révéler dangereuses. Jusqu'à présent, grâce à Dieu, je ne crois pas avoir jamais fait de mal à personne. Mais comment en être sûre puisque je ressors de mes crises en ayant tout oublié ?

J'ai peur.

J'ai peur de moi-même."


Du coup, quand Jane se rend au lac Mendota pour les vacances d'été, toujours en compagnie de Richard et de Janine, sa mère, et que cette dernière retourne à Chicago et la laisse seule avec Richard et que, le lendemain matin, elle se réveille auprès du corps de Richard, égorgé, elle est la coupable toute trouvée.

Y a-t-il un lien entre son enlèvement alors qu'elle n'avait que 11 ans et ce meurtre effroyable ? Que pensez de cette peur terrible quand elle regarde les dessins animés de Disney ? Quel est ce Magicien d'Oz qui rôde sur sa vie ? Quel rapport avec Blanche-Neige, Le livre de la Jungle... ?

Qui tire les ficelles ? Pourquoi le procureur veut-il bâcler cette affaire ?

Pourquoi pendant ses "fugues temporelles" reste-t-elle bloquée dans les dessins animés de Disney et surtout, pourquoi est-elle persuadée d'en être l'héroïne ? Qu'est-ce qui déclenche ses fugues temporelles ?

Jane pourrait devenir complètement folle, mais sa mère, Janine, aidait de l'agent Sleuth du FBI, vont mettre tout en oeuvre pour libérer Jane et obtenir la vérité.

Les bonds dans le temps, les scènes de Disney associés à la psychologie de Jane en font un thriller déroutant, fascinant. Le suspense est préservé pratiquement jusqu'à la fin, même si dans le dernier quart du livre on commence à bien comprendre une partie de la vérité.

"A Fleur de Peau" est un thriller psychologique, dans lequel vous passez au fur et à mesure de votre lecture d'un suspect à un autre.  Vous vous régalerez chapitre après chapitre et obtiendrez les réponses à vos questionnements à la fin du livre.

La vérité est plus noire qu'elle ne le laisse paraître au premier regard.



Pour ceux qui ne connaissent pas James BARNABY

Vous ne le connaissez pas ? Eh bien c'est normal ! 

James BARNABY n'est qu'un pseudonyme emprunté à la série télévisée "Inspecteur Barnaby".

Derrière ce nom, se cache un auteur français, admirateur d'Alfred Hitchcock, qui signe son premier thriller.

Plus habitué à écrire des romans dont les thèmes sont l'ésotérisme, les contes et légendes, Edouard Brasey, de son vrai nom, a voulu surprendre ses lecteurs sans les décontenancer.

Né en 1954, Edouard Brasey est un romancier, essayiste, scénariste et conteur, dont de nombreux livres ont été traduits dans plusieurs langues.

Son best-seller : "Le Dernier pape", paru en 2013 vendu à plus de 20 000 exemplaires.




Voilà, j'espère vous avoir donné l'envie de découvrir "A Fleur de peau" et cet auteur qui a su se lancer un réel défit, en devenant inconnu du grand public pour la parution de ce livre.


Une bonne lecture au coin du feu !